Tout est parfait ce matin. Il n’a plus ressenti cette émotion qui lui parcoure tout le corps depuis qu’il avait quitté sa précédente compagne aux précédentes fêtes de Noël. Elle était belle aussi. Mais si triste…
Il cherche son regard, son journal définitivement replié sur ses genoux. Elle ne prête pas d’attention particulière à sa présence. Il est un fantôme parmi tous les fantômes qui hantent le wagon.
Son encombrant voisin est plongé dans la lecture d’un article s’attardant sur les démêlés d’un obscur politicien… au mur du wagon sont placardés les gros titres des faits divers. « La visite du président en Ouganda », « La baisse du pouvoir d’achat », « On redoute une nouvelle attaque de l’égorgeur de Noël », « La sortie d’une nouvelle Playstation créé l’événement »… Une voix féminine crépite dans les hauts parleurs du wagon : « Prochain arrêt, La Défense ».
Les fantômes s’animent et se préparent à sortir rapidement pour gagner leurs bureaux respectifs. La jeune femme en face de lui détache son regard de la vitre, lui reste obnubilé par sa présence. Elle se lève doucement et dans son geste lent et appliqué les grands yeux noirs se plongent l’espace d’un battement d’ailes dans les siens. Il en est sur, il a pu lire dans ce temps infiniment court un message de tendresse de la part de cette voisine si envoutante.
Lui aussi doit se lever. Le train s’arrête, les portes s’ouvrent et malgré l’agitation chaotique du quai de la station de métro, son regard ne peut se détacher du grand manteau noir de cette élégante et mystérieuse demoiselle qui, il en est sur, lui a adressé un appel langoureux dans ce futile regard. Et il n’a certainement pas l’intention de laisser passer cette occasion.
D’habitude, le laveur de carreau n’est pas d’un naturel impulsif, mais il se sent cette fois-ci comme envouté par la belle inconnue…
dimanche 23 décembre 2007
vendredi 21 décembre 2007
Desillusion - partie 2

Tagadak... tagadak....
C'est un matin comme tant d'autres pour lui.. mais pourtant ce matin il est assez joyeux. Il sent encore la montée du guitariste Gary Rossington lorsque le chanteur entame "I'm a Freeeeeeebird !!!" et la pousée du solo mélodique derrière. Toute la virtuosité de ses jeunes années lui donne un sourire nostalgique. Complétement écrasé sur la banquette du métro, il se surprend même à siffler et chantonner l'air du vieux tube.
"Chatelet les Halles". Il reste encore une quinzaine de minutes à tuer avant d'arriver à destination, et c'est généralement le moment propice pour sortir le "20 minutes" auquel les habitués retranchent toujours 5 minutes de blabla politique inintéressant.
La rubrique préférée des parisiens matinaux, ce sont tout d'abord les avis de grêves et seulement ensuite les faits divers. Trop heureux de savoir qu'ils auront un métro pour rentrer chez eux le soir, et bien content de voir que la violence et l'insécurité ne les a pas encore frappé.
Tellement absorbé par la lecture d'un article prévenant les dangers de la surconsommation de surgelés, il ne s'est même pas aperçu que le wagon affichait complet maintenant. C'est le bruit des discussions qui lui fit lever le regard et baisser doucement son journal en papier recylcé. Et doucement, il la vit pour la toute première fois. Ces secondes là, il ne les oublia jamais, jusqu'à son dernier souffle de vie, quarante trois ans plus tard, lorsque son coeur avait décidé qu'il était trop fatigué.
Il baisse doucement son journal et aperçoit quatre mèches brunes en bataille. Sous cette coiffure sans soin tranche un petit visage d'une finesse infinie, et deux grand yeux noirs dans lesquels pour la première fois il eut le vertige, lui qui avait l'habitude de se pendre chaque jour à des nacelles élevées à plusieurs centaines du mètres du sol. Il vacillait bien assit dans son siège...
Elle arbore avec nonchalence un casque de walkman et semble perdue dans la contemplation blème des tunnels noirs du métro. Solidement assoupie dans une grosse écharpe en laine, elle dénote singulièrement des autres passagers de la rame qui s'entassent de plus en plus à chaque arrêts.
Il la trouve parfaite. Innocente, rêveuse, sensible et innofensive. Tout est parfait d'ailleurs, si ce n'est l'étouffante foule qui s'engouffre dans le wagon à la chaleur oppressante qui tranche avec le froid hivernal de Paris. Si ce n'est cette veste rembourrée qu'il porte pour le proteger de ce même froid. Si ce n'est son téléphone portable et cet opinel bon marché qui grossissent outrageusement la poche intérieur de sa doublure. Non, à part ces menus détails, tout est parfait ce matin.
jeudi 20 décembre 2007
Desillusion - partie 1

Tagadak... tagadak.... tagadak... tagadak... Le mouvement perpetuel et régulier de la rame de métro sur les rails. Une berceuse bien connue à ses oreilles.
C'est un matin comme tant d'autres pour lui.
Depuis qu'il a commencé ce nouvel emploi comme laveur de vitres dans le flambant quartier de "La Défense", où les tours modernes sont desespérement hautes et surtout entièrement recouvertes de vitres, chaque jour ressemble un peu plus au suivant. Cette routine va peut-être même un jour l'effacer. Il se sent chaque semaine plus transparent. Bientôt, le journal qu'il tient dans les mains flottera dans les airs, lui, il ne sera plus qu'un fantôme parmi tous les fantômes qui hantent le wagon.
Tagadak... tagadak....
Les quatre tasses de café qu'il avale dès qu'il sort du lit arrive tant bien que mal à lui faire ouvrir les yeux. Même si son estomac vide apprécie moins et lui fait souvent savoir, il sait qu'il n'aura jamais le temps de prendre son temps, comme les publicités qui recouvrent les murs du métro à chaque station, et qui vantent les mérites du beurre à tartiner au chocolat si délicieusement "light", et ces familles toute souriantes qui prennent leurs petits déjeuners pendant des heures sur la terrasse d'un jardin ensolleillé.
Lui, il n'habite pas sur la même planète.
Le matin, il éteint le reveil, hurlant à 05:00, qu'il a disposé stratégiquement à l'autre bout de sa chambre. Puis il se traine aveuglement jusque dans la cuisine en tatonnant à la recherche de l'interrupteur. Le néon grésillant s'allume, la vérité éclate... ça fait maintenant quatre jours que la vaisselle n'est pas faite. Tant pis, ca attendra demain, il allume la cafetière entartrée puis se dirige vers la salle de bain. A la radio, on joue "Freebird" de Lynyrd skynyrd...
En ouvrant la porte d'entrée de son petit appartement, il trouve le "20 minutes" du jour sur le palier, comme chaque matin. Le journal sous le bras, il sait qu'il a exactement 4 minutes pour dévaler l'escalier de l'immeuble et se précipiter vers la bouche de métro "Porte d'Ivry". Puis, il attendra environ 2 minutes l'arrivée de la rame. Ensuite, il pourra s'assoupir exactement 31 minutes jusqu'à "La Défense". Chaque jour se ressemble... et ils ne ressemblent pas à ces publicités qu'on placarde partout sur les murs des métros, où les gens sont beaux, et où la vie semble si simple et colorée.
Tagadak... tagadak....
mardi 18 décembre 2007
lundi 17 décembre 2007
samedi 15 décembre 2007
jeudi 13 décembre 2007
In love with Polanski...

En toute subjectivité, je pense honnétement que Polanski trône à la plus haute place du panthéon des réalisateurs de films. Aussi variée que parfaite, sa filmographie garde une seule équivoque droiture dans l'excellence.
Petite revue non exhaustive de ces chefs d'oeuvres intemporels que je continue invariablement de regarder encore et encore, au fil des années, avec toujours le même enthousiasme.
The Fearless Vampire Killers (Le bal des Vampires) - 1967
Synopsis :
Le Pr Ambrosius vient en transylvannie pour terminer son essai sur une race d'être surnaturel se nourissant du sang de leurs victimes. Lui et son jeune assistant vont être amené à rencontrer et combattre le sombre comte Von Krolock...
Nota :
Entre comédie parodique et hommage singulier au genre, Polanski signe l'un des plus representatifs films fantastiques de Vampire des années 60. Avec un classicisme respectueux et une nonchalence comique bienvenue, le cinéaste arrive à donner un rythme détonnant à ce conte diabolique, drôle et esthétique.
Rosemary's baby - 1968
Synopsis :
Rosemary et son mari Guy décide d'acheter un vaste et confortable appartement dans New York. Au fur et à mesure de leur installation, les nouveaux arrivants font connaissances avec leurs singuliers voisins et l'histoire qui les relie avec les précédents occupants tragiquement décédés. Alors que l'improbable réussite de Guy dans le monde du théatre pourrait combler leur bonheur... Rosemary rêve en secret à avoir un enfant.
Nota :
Lancé par le succès de son film comico-fantastique "La bal des Vampires", Polanski décide cette fois de se lancer dans l'adaptation de ce roman à succès et signe par la même occasion l'un des plus terrifiants films fantastiques du septième art. On le considère généralement au même titre que "Nosferatu" de Murnau ou "Shining" de Stanley Kubrick. Sans jamais user d'effets speciaux et ne dévoilant jamais le véritable visage de l'horreur, Polanski distille une ambiance pesante et menacante et livre un véritable travail de maitre sur l'usage de l'atmosphere et la psychologie de ses personnages. L'un de ses meilleurs films... totalement intemporel et culte !
Chinatown - 1974
Synopsis :
Dans le Los Angeles d'avant-guerre, Jake J. Gittes est un détective privé, spécialiste des infidélités, qui se voit embauché par une certaine Evelyn Mulwray. Elle lui demande de filer son mari, Hollis Mulwray, haut fonctionnaire du Service des Eaux.
Nota :
Encore une fois, Polanski s'approprie un genre pour en sortir ce qu'il y a de meilleur. Avec Chinatown, le cinéaste polonais s'attaque au polar noir typique des années 60-70. Transcendant et sublimant les codes visuels du style (le héros solitaire en complet cravatte et chapeau, la femme fatale, les voitures d'époques, le style cigare-cuir-whisky...), Polanski offre une orgie visuelle et musicale autant qu'une histoire au scénario torturé et passionant. La réalisation d'une droiture magistrale assure aussi à ce film un avenir radieux, le métrage n'a pas pris une ride. Qui plus est, l'interpretation renversante de Jack Nicholson et Faye Dunawaye rajoute un côté mystérieux à ses personnages.
The Tenant (Le locataire) - 1976
Synopsis :
Trelkowsky, un fonctionnaire timide d'origine polonaise, visite un appartement dans un vieil immeuble de Paris. La locataire précédente s'est jetée par la fenêtre et est dans un coma profond. En lui rendant visite à l'hôpital, Trelkowski rencontre Stella, une amie de la blessée. Il l'emmène au café, puis au cinéma où ils flirtent. La suicidée décède, Trelkowsky emménage.
Nota :
Considéré par les cinéphiles comme son chef d'oeuvre, Le Locataire est aussi l'oeuvre la plus difficile de Polanski. Auréolé du triomphe de Chinatown, le cinéaste et son compère Gerard Brach décide d'adapter le roman de Roland Topor, entièrement dévoué à la bétise humaine. Résultat de cet étrange adaptation, un film formellement parfait, une interprétation de Polanski (réalisateur et acteur principal) étonnate et un film qui distille doucement l'inquiétude, la solitude, la claustrophobie et la folie de son sujet. Il est absolument impensable de passer à côté de ce monument pour tout bon cinéphile qui se respecte. Peut-être l'ambiance la plus opressante qui existe au septième art, et certainement un film d'une influence majeure sur le cinéma fantastique moderne (Silent Hill etc...).
Pirates - 1986
Synopsis :
Capitaine Red, grand et vieux pirate anglais, et La Grenouille, jeune pirate français, se trouvent sur un radeau. Affamé, le Capitaine veut manger La Grenouille, mais celui-ci lui échappe lorsqu'il grimpe tout en haut du mat. De là, il perçoit un grand et beau navire espagnol navigant vers eux.
Nota :
Décors exotique et magnifique, costumes riches, interprétations justes et charmeuses, rythme et aventures au rendez vous. Encore une fois, Polanski s'approprie les codes classiques du film de Pirates pour en retenir le meilleur et y rajouter sa part de folie et de non-sense. Pirates est un fleuron du film d'aventure, un vrai film de genre respectueux et balancé. Malgré tant de qualité pour un film qui mit plus de 15 ans à être monté, l'échec cuisant au box office a définitivement entérré le genre jusqu'à son grand retour avec les aventures de Jack Sparrow.
Death and the Maiden (La jeune fille et la Mort) - 1993
Synopsis :
En Amérique latine, Paulina Escobar, ex-militante emprisonnée et torturée durant l'ancien régime, vit aux côtés de son époux Gerardo, un brillant avocat, dans une maison isolée sur la côte. Un soir d'orage, Gerardo tombe en panne de voiture, et un homme courtois le raccompagne jusque chez lui, le Dr Miranda. Paulina croit reconnaître en lui son ancien tortionnaire...
Nota :
Moins connu et considéré à tort comme un film mineur de la filmographie du maitre, ce bijour d'angoisse et d'émotions est surtout transporté par une mise en scène magistrale, un scénario terriblement efficace aux dialogues acérés et surtout deux acteurs immenses au sommet de leur art, Sigourney Weaver et Ben Kingsley.
The Ninth Gate (La neuvième Porte) - 1999
Synopsis :
Dean Corso, un Américain spécialiste des livres anciens, est envoyé à Paris et à Tolède par un grand collectionneur de littérature démoniaque afin de retrouver deux précieux volumes datant du XVIIe siècle. Suit une enquête en forme de labyrinthe, qui l'amènera à pénétrer un monde inquiétant, où il fera d'étranges rencontres, notamment celle d'une jeune femme sensuelle et magnétique...
Nota :
Injustement boudé par les critiques et le public lors de sa sortie en salle. La Neuvième Porte réussit pourtant là où de récents succès populaires (Da Vinci Code..) échouent lamentablement. Enquète ésotérique mélant art et mystères, la nouvelle de Perez-Reverte est brillement adaptée dans une ambiance soignée et un héros particulièrement charismatique incarné par Johnny Depp. Un bon film, pas majeur certes, mais vivement conseillé :)
Bien sur, il y en a d'autres tout aussi immanquables (Le Pianiste, Oliver Twist, Tess, Frantic ...). Mais je voulais présenter ici ceux que votre serviteur défend corps et âme pour l'amour du vrai Cinéma!
Un site très conseillé dont les synopsis que je vous propose sont partiellement tirés :
http://romanpolanski.online.fr
Et la fiche Wikipedia du maitre :
http://fr.wikipedia.org/wiki/Roman_Polanski
mercredi 12 décembre 2007
Brume, forêt, retard et photos...

Je sors sur le parterre glissant de mon seuil plein de givre, et tente d'ouvrir tant bien que mal ma portière de voiture qui résiste à mes assauts répétés.. La portière est collée par le givre matinal.
Après une bataille acharnée avec la portière qui dut bien durer 10 minutes.. victoire je peux enfin prendre la route avant de croiser un accident à Pont Sainte Maxence, la ville qui me sépare de mon travail. Calme, zen... plénitude...
En retard pour être en retard, je traverse la forêt d'Hallatte et devant le miracle de la nature qui s'offre à mes yeux, décide de m'arreter quelques minutes pour respirer l'air frais et profiter de cette brume dans la forêt qui donne à notre région cette atmosphère si particulière que ne renierait pas Edgar Alan Poe.
mardi 11 décembre 2007
lundi 10 décembre 2007
Barcelona... t'enyoro...
jeudi 6 décembre 2007
MON TOP CINEMA 2007
Comme pas mal de site se prête à l'exercice cette semaine, voici une séléction des 10 films que toute personne censée n'a pas pu rater cette année:

1- Ratatouille
Incontestablement beau, aussi bien formellement que dans la profondeur de ses personnages, Pixar appuie son statut de star incontestable, Brad Bird est en passe de devenir mon réalisateur préféré juste derrière Polanski et jamais un Rat ne m'avait procuré autant de plaisir. Ca faisait très longtemps qu'un film d'animation ne m'avait pas autant amusé... peut être depuis Les Indestructibles en fait...

2- 28 Semaines plus tard
J'ai déjà largement évoqué ce film en dythirambes qui se passent de commentaires. :)

3- Le dernier roi d'Ecosse
J'en avais aussi brièvement parlé dans l'année, ce petit chef d'oeuvre de politique fiction révèle l'incroyable puissance d'un acteur, et la fragilité d'un continent... rien que ça.

4- Hot Fuzz
Toujours dans le même billet, Hot Fuzz a fait partie des souvenirs qu'on aime se rappeler, au même titre que le Shaun of The Dead des joyeux drilles britanniques.

5- 99 francs
Imbuvable pour certain, arty pour d'autres... Beigbeder agaçe tout le monde, et moi, ça m'éclate. La tête de turc préférée des prolos est toutefois un fervent défenseur du 7ème art (en témoigne son émission sur Canal ciné) et le choix de Jan Kounen comme réalisateur de son brulôt et de Jean Dujardin comme avatar sur la grande toile blanche tient du casting parfait. Indispensable et surtout pas sobre !

6- The Simpsons : the movie
Ok... c'était courru d'avance.. Les Simpsons en long métrage tiennent t'ils la longueur? Oui.

7- La légende de Beowulf
Un vrai film de Heroic Fantasy burné et complétement idiot mais qui s'assume comme n'importe quel film d'action des années 80. J'adore. C'est pas forcément convaincant esthétiquement, mais c'est suffisement beauf et bourrin pour ne pas tromper le client! Finalement, Beowulf est ce que j'attendais de 300: Epique, poseur et bourrin.

8- Zodiac
Bon suspens + Bons acteurs + Bon réalisateur + Bonne histoire = définitivement bon film !
Les deceptions:
1- Pirate des Caraibes 3
Un final que j'ai trouvé ennuyeux au possible... Une déception qui baigne dans les pixels sans ames de son flot numérique... quelle deception !!!
2- Transformers
Malgré les plus belles scènes d'action de destruction massive... Les acteurs les plus minables de leurs générations réunis dans un seul film aux dialogues les plus honteux ont eu raison de ma patience... snif.
3- 300
Pétard mouillé. J'y ai cru dur comme fer. 300 n'est pas une purge, loin de là. C'est juste un honnète blockbuster sans aucune surprise et sans âme. Sans l'âme du guerrier... parce que pas épique, et surtout pas aussi flamboyant que ce que promettait les previews... reste une esthétique qui à défaut d'etre jolie reste originale.

1- Ratatouille
Incontestablement beau, aussi bien formellement que dans la profondeur de ses personnages, Pixar appuie son statut de star incontestable, Brad Bird est en passe de devenir mon réalisateur préféré juste derrière Polanski et jamais un Rat ne m'avait procuré autant de plaisir. Ca faisait très longtemps qu'un film d'animation ne m'avait pas autant amusé... peut être depuis Les Indestructibles en fait...

2- 28 Semaines plus tard
J'ai déjà largement évoqué ce film en dythirambes qui se passent de commentaires. :)

3- Le dernier roi d'Ecosse
J'en avais aussi brièvement parlé dans l'année, ce petit chef d'oeuvre de politique fiction révèle l'incroyable puissance d'un acteur, et la fragilité d'un continent... rien que ça.

4- Hot Fuzz
Toujours dans le même billet, Hot Fuzz a fait partie des souvenirs qu'on aime se rappeler, au même titre que le Shaun of The Dead des joyeux drilles britanniques.

5- 99 francs
Imbuvable pour certain, arty pour d'autres... Beigbeder agaçe tout le monde, et moi, ça m'éclate. La tête de turc préférée des prolos est toutefois un fervent défenseur du 7ème art (en témoigne son émission sur Canal ciné) et le choix de Jan Kounen comme réalisateur de son brulôt et de Jean Dujardin comme avatar sur la grande toile blanche tient du casting parfait. Indispensable et surtout pas sobre !

6- The Simpsons : the movie
Ok... c'était courru d'avance.. Les Simpsons en long métrage tiennent t'ils la longueur? Oui.

7- La légende de Beowulf
Un vrai film de Heroic Fantasy burné et complétement idiot mais qui s'assume comme n'importe quel film d'action des années 80. J'adore. C'est pas forcément convaincant esthétiquement, mais c'est suffisement beauf et bourrin pour ne pas tromper le client! Finalement, Beowulf est ce que j'attendais de 300: Epique, poseur et bourrin.

8- Zodiac
Bon suspens + Bons acteurs + Bon réalisateur + Bonne histoire = définitivement bon film !
Les deceptions:
1- Pirate des Caraibes 3
Un final que j'ai trouvé ennuyeux au possible... Une déception qui baigne dans les pixels sans ames de son flot numérique... quelle deception !!!
2- Transformers
Malgré les plus belles scènes d'action de destruction massive... Les acteurs les plus minables de leurs générations réunis dans un seul film aux dialogues les plus honteux ont eu raison de ma patience... snif.
3- 300
Pétard mouillé. J'y ai cru dur comme fer. 300 n'est pas une purge, loin de là. C'est juste un honnète blockbuster sans aucune surprise et sans âme. Sans l'âme du guerrier... parce que pas épique, et surtout pas aussi flamboyant que ce que promettait les previews... reste une esthétique qui à défaut d'etre jolie reste originale.
mercredi 5 décembre 2007
Memories...
Tout d'abord, un peu de musique (et quelle musique... :)):
Quelques souvenirs de voyages en vrac.. :)
De bien belles images, si loin et si finalement prêt de nous.

Abu Simbel en Egypte... en 2003

Venise... en 2004

Le Fuji-San au Japon... en 2006

Le cimetierre de bateaux de Nouadhibou en Mauritanie... en 2007

Et Barcelone... :)
Quelques souvenirs de voyages en vrac.. :)
De bien belles images, si loin et si finalement prêt de nous.

Abu Simbel en Egypte... en 2003

Venise... en 2004

Le Fuji-San au Japon... en 2006

Le cimetierre de bateaux de Nouadhibou en Mauritanie... en 2007

Et Barcelone... :)
mardi 4 décembre 2007
ASSASSIN'S CREED : Classe, charisme et immersion
Concentré simple de classe ultime... l'assassin Altair est envoyé par sa guilde pour remettre dans l'ordre dans le chaos politique de la troisième croisade. Aussi bien envers les hordes de Saladin que vers les chevaliers de Richard, l'agile avatar numérique va se fondre dans la foule pour abbatre ses ennemis comme un chat joue avec une souris.
Partagé entre trois villes (Jerusalem, Saint Jean d'Acre et Damas) et un vaste territoire à visiter, Altair affiche une démarche nonchalante mais sur de lui il avance comme le bras singulier de la justice qui va frapper l'impur. Doué de talents acrobatiques sans pareil, il lui sera aisé de confondre les nombreux gardes suite à l'un de ses délits.
Avec une histoire plus complexe et plus travaillée en profondeur qu'il n'y parait, une réalisation technique hors norme (le plus beau jeu du monde... où tout au moins le plus cohérent et le plus immersif), et un level design à en faire pleurer une génération de level designers... le nouveau blockbuster d'Ubi Soft s'avère être le plus grand jeu d'auteur à gros budget.
Plus qu'un jeu, un voyage dans une autre époque et une classe à en donner des lessons à Georges Clooney.
lundi 3 décembre 2007
Fucking Monday
Un clip parmi les meilleurs que j'ai pu visionner. En plus de l'excellence de cette track made in Radiohead, l'intelligence de ce clip qui propose une intrigue parfaitement formatée au format réduit et imposé par les clips le rend unique et indispensable. Du grand art !
lundi 26 novembre 2007
SOLOMON KANE !!! Enfin !!!
Toute mon enfance vient de me sauter au visage !!
En parcourant les sites de news cinéma ce matin comme d'habitude, je tombe sur l'adaptation cinématographique qui m'a fait fantasmé plus de 15 ans... j'en ai révé... et ça va arriver pour la fin 2008.

Solomon Kane est un héros inventé par Robert E. Howard au début du 20 ème siècle. Alors qu'Howard avait déjà écrit les différentes aventures de Conan Le Barbare, il a décidé d'imaginer ce personnage atypique, bras vengeur de Dieu, executant les sales besognes de l'ombre que les catholiques et autres protestants ne peuvent voir.
Le style est direct et brutal comme d'habitude avec Howard, mais le personnage ô combien magistral et charismatique. J'ai toujours imaginé qu'il ferait un parfait personnage de cinéma.
Samule Hadidda (Silent Hill) vient de produire ce film pour 48 millions de dollars (ça me semble juste mais bon..) et c'est Michael J. Basset qui va réaliser. J'avais vu son premier film, Deathwatch, il y a quelques années au festival de Gerardmer, c'était pétri de bonnes intentions, mais un peu faiblard sur la longueur. On verra ce que donnera cette adaptation d'une série de nouvelles que j'adule !
En tous cas, cette nouvelle fera plaisir à mon père qui m'a fait découvrir ce héros légendaire alors que j'avais 11 ou 12 ans... ce fut d'ailleurs l'un des premiers livres fantastiques que j'ai lu.
En parcourant les sites de news cinéma ce matin comme d'habitude, je tombe sur l'adaptation cinématographique qui m'a fait fantasmé plus de 15 ans... j'en ai révé... et ça va arriver pour la fin 2008.

Solomon Kane est un héros inventé par Robert E. Howard au début du 20 ème siècle. Alors qu'Howard avait déjà écrit les différentes aventures de Conan Le Barbare, il a décidé d'imaginer ce personnage atypique, bras vengeur de Dieu, executant les sales besognes de l'ombre que les catholiques et autres protestants ne peuvent voir.
Le style est direct et brutal comme d'habitude avec Howard, mais le personnage ô combien magistral et charismatique. J'ai toujours imaginé qu'il ferait un parfait personnage de cinéma.
Samule Hadidda (Silent Hill) vient de produire ce film pour 48 millions de dollars (ça me semble juste mais bon..) et c'est Michael J. Basset qui va réaliser. J'avais vu son premier film, Deathwatch, il y a quelques années au festival de Gerardmer, c'était pétri de bonnes intentions, mais un peu faiblard sur la longueur. On verra ce que donnera cette adaptation d'une série de nouvelles que j'adule !
En tous cas, cette nouvelle fera plaisir à mon père qui m'a fait découvrir ce héros légendaire alors que j'avais 11 ou 12 ans... ce fut d'ailleurs l'un des premiers livres fantastiques que j'ai lu.

mardi 13 novembre 2007
lundi 12 novembre 2007
vendredi 26 octobre 2007
jeudi 25 octobre 2007
mercredi 24 octobre 2007
vendredi 19 octobre 2007
Le CICR, une petite histoire d'amour entre toi et moi...
Ca commence par un spot de pub que peu d'entre vous ont pu voir sur les télés françaises... aux antipodes des pitreries de l'actuelle ambassadrice blonde de la Croix Rouge. Et ça finit par une jolie histoire d'amour entre moi et cette fondation que j'apprécie toujours plus chaque jour. Ca fait quatre ans maintenant de bons et loyaux services.. secourisme, inondations, rappatriements du Liban, accidents divers et variés aux degrés de gravité très variables...
Suite au prochain épisode.
Enjoy ! :)
Ca c'est la vie !!!! avouez qu'on est loin du divorce de Sarkozy ou des petites contrariétés de n'avoir pu s'acheter le dernier écran plasma à la mode !!!
Suite au prochain épisode.
Enjoy ! :)
Ca c'est la vie !!!! avouez qu'on est loin du divorce de Sarkozy ou des petites contrariétés de n'avoir pu s'acheter le dernier écran plasma à la mode !!!
jeudi 18 octobre 2007
Poison....
Le vin sait revêtir le plus sordide bouge
D’un luxe miraculeux,
Et fait surgir plus d’un portique fabuleux
Dans l’or de sa vapeur rouge,
Comme un soleil couchant dans un ciel nébuleux.
L’opium agrandit ce qui nà pas de bornes,
Allonge l’illimité,
Approfondit le temps, creuse la volupté,
Et de plaisirs noirs et mornes
Remplit l’âme au delà de sa capacité.
Tout cela ne vaut pas le poison qui découle
De tes yeux, de tes yeux verts,
Lacs où mon âme tremble et se voit à l’envers...
Mes songes viennent en foule
Pour se désaltérer à ces gouffres amers.
Tout cela ne vaut pas le terrible prodige
De ta salive qui mord,
Qui plonge dans l’oubli mon âme sans remord,
Et, charriant le vertige,
La roule défaillante aux rives de la mort !
Vous savez peut-être en me lisant l'amour que j'ai pour Baudelaire... ce mec était quand même un peu barré, mais qu'est ce qu'il parlait bien...
mercredi 17 octobre 2007
jeudi 11 octobre 2007
I sense there's something in the wind

I sense there's something in the wind
That feels like tragedy's at hand
And though I'd like to stand by her
Can't shake this feeling that I have
The worst is just around the bend
And does she notice my feelings for her?
And will she see how much she means to me?
I think it's not to be
What will become of my dear friend?
Where will her actions lead us then?
Although I'd like to join the crowd
In their enthusiastic cloud
Try as I may, it doesn't last
And will we ever end up together?
mercredi 10 octobre 2007
mercredi 26 septembre 2007
World Citizen
World Citizen - I Won’t Be Disappointed
What happened here?
The butterfly has lost its wings
The air’s too thick to breathe
And there’s something in the drinking water.
The sun comes up
The sun comes up and you’re alone
Your sense of purpose come undone
The traffic tails back to the maze on 101
And the news from the sky
Is looking better for today
In every single way
But not for you
World citizen
World citizen
It’s not safe
All the yellow birds are sleeping
Cos the air’s not fit for breathing
It’s not safe
Why can’t we be
Without beginning, without end?
Why can’t we be?
World citizen
World citizen
And if I stop
And talk with you awhile
I’m overwhelmed by the scale
Of everything you feel
The lonely inner state emergency
I want to feel
Until my heart can take no more
And there’s nothing in this world I wouldn’t give
I want to break
The indifference of the days
I want a conscience that will keep me wide awake
I won’t be disappointed
I won’t be disappointed
I won’t be.
I saw a face
It was a face I didn’t know
Her sadness told me everything about my own
Can’t let it be
When least expected there she is
Gone the time and space that separates us
And I’m not safe
I think I need a second skin
No, I’m not safe
World citizen
World citizen
I want to travel by night
Across the steppes and over seas
I want to understand the cost
Of everything that’s lost
I want to pronounce all their names correctly
World citizen
World citizen
I won’t be disappointed
I won’t be.
She doesn’t laugh
We’ve gone from comedy to commerce
And she doesn’t feel the ground she walks upon
I turn away
And I’m not sleeping well at night
And while I know this isn’t right
What can you do?
jeudi 20 septembre 2007
Nouadhibou Forever

Je pense que parmi toutes les villes traversées, Nouadhibou est celle qui me laissera le souvenir le plus positivement contrasté, de depaysement total, et de merveilleuses images.
La Mauritanie est un pays étrange pour l'occidental que je suis. Sa superficie fait une fois et demie celle de la France, sa population est minimale, et se concentre autour des deux seules véritables citées que sont la capitale Nouakchott et sa cousine du nord, Nouadhibou.
Exclusivement recouverte de sable, seule la côte Atlantique permet une infime culture à ses habitants. Le pays exploite péniblement ses ressources minières (Phosphore, fer, cuivre...) pour donner une monnaie d'échanges à tous les produits de premières necessités.
Socialement, la Mauritanie est un peu l'électron libre de l'Afrique Nord. Sa population est un brassage de Maures (maghreb) et de Negro-Africains (Senegal etc..). La culture et l'actualité d'ailleurs s'en ressentent. La vraie identité culturelle mauritanienne, elle se trouve dans le désert profond, l'indomptable Sahara que les touaregs traversent inlassablement toute leur vie.
Touristiquement, le pays est une richesse heureusement vierge et totalement inexploitée. On n'y croisera aucun McDo et encore moins de Club Med. Pourtant, s'offrent devant les yeux attentifs bon nombre de sites immanquables et une richesse populaire ahurissante...
Dans le désordre, je recommande chaudement bien sur une traversée du Sahara, le cimetierre de bateau de Nouadhibou, une visite de cette dernière parait d'ailleurs indispensable pour gouter aux joies de la vie quotidienne de cette ville sortie tout droit du Far West... et un passage par Nouakchott et le sud mauritanien (Rosso par exemple...).



lundi 17 septembre 2007
Mauvais rôle
C'est drôle, bien réalisé, bourré de références et en plus c'est fait par les petits frenchy de Supinfocom... :)
vendredi 14 septembre 2007
On Air à Agadir
La Caravane de la Paix fut l'occasion de nombreuses rencontres, de nombreux échanges, de découvertes culturelles et humaines riches et intenses. Mais ce fut aussi l'occasion de quelques mémorables soirées où la fatigue et la motivation pour en profiter un maximum nous (les caravaniers) a poussé à faire un peu n'importe quoi.
Parmi ce fameux n'importe quoi généralisé, je retiens notamment une nuit à Agadir (Maroc) dans un centre pour enfants difficiles particulièrement miteux. En plus des cafards et de l'éclairage défaillant, les locaux se prétaient particulièrement pour.... le tournage d'un film d'horreur.
C'est chose faite, puisqu'à l'aide d'une poignée de compagnons cinglés et motivés, nous avons écrit un scénario ficelle, une intrigue inexistante, des dialogues ridicules et finalement une partie de fou rire qui s'est tranformée en nuit blanche d'anthologie. Mais tout celà dans le sérieux professionnel que vous pouvez imaginer.
Je vous montrerais peut-être un jour le fruit de notre génie artistique collaboratif. En attendant, voici une photo (Guilhem le perchman à gauche, je suis de dos au centre, et Agathe interprête notre journaliste de choc et de charme) qui dévoile un peu l'envers de notre décors cinématographique.

L'art, c'est pas grand chose....
Merci à Manon, Pauline, Yasmina, Clémence, Agathe, Guilhem et tous ceux qui nous ont aidé pour ce futur concurrent du festival de Sundance.. n'en doutons pas :)
Parmi ce fameux n'importe quoi généralisé, je retiens notamment une nuit à Agadir (Maroc) dans un centre pour enfants difficiles particulièrement miteux. En plus des cafards et de l'éclairage défaillant, les locaux se prétaient particulièrement pour.... le tournage d'un film d'horreur.
C'est chose faite, puisqu'à l'aide d'une poignée de compagnons cinglés et motivés, nous avons écrit un scénario ficelle, une intrigue inexistante, des dialogues ridicules et finalement une partie de fou rire qui s'est tranformée en nuit blanche d'anthologie. Mais tout celà dans le sérieux professionnel que vous pouvez imaginer.
Je vous montrerais peut-être un jour le fruit de notre génie artistique collaboratif. En attendant, voici une photo (Guilhem le perchman à gauche, je suis de dos au centre, et Agathe interprête notre journaliste de choc et de charme) qui dévoile un peu l'envers de notre décors cinématographique.

L'art, c'est pas grand chose....
Merci à Manon, Pauline, Yasmina, Clémence, Agathe, Guilhem et tous ceux qui nous ont aidé pour ce futur concurrent du festival de Sundance.. n'en doutons pas :)
jeudi 13 septembre 2007
jeudi 6 septembre 2007
Lost in Translation
mardi 4 septembre 2007
Heureux qui comme Ulysse...
Heureux qui comme Ulysse
A fait un beau voyage
Heureux qui comme Ulysse
A vu cent paysages
Et puis a retrouvé après
Maintes traversées
Le pays des vertes allées
Par un petit matin d'été
Quand le soleil vous chante au cœur
Qu'elle est belle la liberté
La liberté
Quand on est mieux ici qu'ailleurs
Quand un ami fait le bonheur
Qu'elle est belle la liberté
La liberté
Avec le soleil et le vent
Avec la pluie et le beau temps
On vivait bien contents
Mon cheval, ma Provence et moi
Mon cheval, ma Provence et moi
Heureux qui comme Ulysse
A fait un beau voyage
Heureux qui comme Ulysse
A vu cent paysages
Et puis a retrouvé après
Maintes traversées
Le pays des vertes allées
Par un joli matin d'été
Quand le soleil vous chante au cœur
Qu'elle est belle la liberté
La liberté
Quand c'en est fini des malheurs
Quand un ami sèche vos pleurs
Qu'elle est belle la liberté
La liberté
Battus de soleil et de vent
Perdus au milieu des étangs
On vivra bien contents
Mon cheval, ma Camargue et moi
Mon cheval, ma Camargue et moi
jeudi 26 juillet 2007
Départ imminent
Bon, cette fois on y est. Le sac à dos est plein à rabord. Les tentes sont prêtes. Mon passeport a obtenu le fameux sésame pour la Mauritanie, et les vaccins font leur boulot. L'excitation est à son comble et je sens que je ne vais pas beaucoup dormir cette nuit... Je serais encore loin de la vérité si je disais que je voudrais bien me téléporter de suite sur le continent africain !!! :)
Départ donc demain matin à 6h45 pour la gare d'Austerlitz, direction Bécours dans le Tarn. Là, trois jours de préparatifs pour enfin prendre la route vers notre première étape, Barcelone.
La Croix Rouge nous a communiqué, à mes trois compagnons de voyage et moi, notre premier contact en Espagne. On est limite dans la peau d'un agent secret, recevant ses instructions au compte-goutte et dans le feu de l'action.
Notre mission ?
Diffuser sensiblement, à chacune de nos étapes, notre savoir en Droit International Humanitaire (DIH pour les intimes) à travers la jeunesse que nous rencontrerons.
Notre arme ?
Le Raid Cross, un jeu de rôle où tour à tour les joueurs prendront le rôle d'un prisonnier de guerre, d'un sniper, d'un artilleur ou encore d'un brancardier de l'armée.
Une mission humanitaire essentiellement basée sur la communication et la sensibilisation donc. Mais aussi une belle aventure humaine dont nous avons expressement ordre de reporter à travers un site qui sera vitrine sur Croix-Rouge.fr à notre retour. Nous allons donc jouer les journalistes photographes en herbe pour mon plus grand bonheur. Et je pense que question photos et souvenirs, on ne va manquer de rien :)
Départ donc demain matin à 6h45 pour la gare d'Austerlitz, direction Bécours dans le Tarn. Là, trois jours de préparatifs pour enfin prendre la route vers notre première étape, Barcelone.
La Croix Rouge nous a communiqué, à mes trois compagnons de voyage et moi, notre premier contact en Espagne. On est limite dans la peau d'un agent secret, recevant ses instructions au compte-goutte et dans le feu de l'action.
Notre mission ?
Diffuser sensiblement, à chacune de nos étapes, notre savoir en Droit International Humanitaire (DIH pour les intimes) à travers la jeunesse que nous rencontrerons.
Notre arme ?
Le Raid Cross, un jeu de rôle où tour à tour les joueurs prendront le rôle d'un prisonnier de guerre, d'un sniper, d'un artilleur ou encore d'un brancardier de l'armée.
Une mission humanitaire essentiellement basée sur la communication et la sensibilisation donc. Mais aussi une belle aventure humaine dont nous avons expressement ordre de reporter à travers un site qui sera vitrine sur Croix-Rouge.fr à notre retour. Nous allons donc jouer les journalistes photographes en herbe pour mon plus grand bonheur. Et je pense que question photos et souvenirs, on ne va manquer de rien :)
mardi 24 juillet 2007
28 Weeks Later - Pourquoi faut-il tendre l'autre joue ??
Mon départ pour l'Afrique est imminent. Du coup, je me gave, tant que faire se peut, des films que je n'aurais pas l'occasion de voir pendant mon absence (on ne se refait pas).

Après un Transformers gentillement généreux, je viens donc de me dégoter un DVD de 28 Weeks Later, la suite du survival de Danny Boyle (28 Days Later) qui avait remis au goût du jour le genre cinématographique du film de Zombie (et qui a certainement permi à Dawn of the Dead, Land of the Dead et autres Shaun of the Dead de sortir ces dernières années).
Et bien, malgré le fait de devoir faire au moins aussi bien que le déjà excellent film de Boyle, j'irais presque jusqu'à dire que 28 Weeks Later est un aboutissement. L'aboutissement d'un concept extrème et d'une réalisation moderne et inventive. 28 Weeks Later est un bijou, un joyau du cinéma gore moderne !!

Quelques semaines après l'infection généralisée de l'Angleterre par une variation du virus de la rage, la population a été complètement décimée. Mais heureusement, le cataclysme s'est limité à l'île, le reste du monde en étant complétement isolé. L'armée américaine, 28 semaines plus tard, organise progressivement le repeuplement de Londres. C'est l'occasion pour deux jeunes enfants de retrouver leur père, un des rares survivants de l'holocauste.
La lourde tâche qui était entre les mains de Juan Carlos Fresnadillo (Intacto) était de respecter le cahier des charges initiés par Boyle dans le premier opus. Utilisation intelligente d'une caméra classique et d'une caméra DV dans les scènes d'action; réalisation épileptique mais mettant en valeur les crises d'hystéries et les aggressions de infectés; et enfin scénario simplissime pour une narration "droit au but" hyper efficace. Bien entouré par le script d'Alex Garland et la musique de John Murphy, Fresnadillo a juste cartonné. Du début à la fin le rythme est insoutenable, l'action et l'intérêt soutenu, il est totalement impossible de décrocher.
Le film est par contre victime d'un méchant penchant pour le gore outrancier. Justifié ou pas, on assiste à des scènes à la limite du soutenable autant visuellement (mention à la sauvagerie de certains zombies, et à une scène d'anthologie de massacre à l'hélicoptère) que psychologiquement (Garland prend decidemment un malin plaisir à massacrer ses protagonistes principaux...). Le final bestial et apocalyptique offre une magnifique ouverture vers un troisième épisode qu'on éspère forcément voir rapidement dans les salles.
My departure for Africa approach greatly. That's why I watch a lot of movie that I will miss during this traval.
After Transformers (quite ok...), I just watched the DVD of 28 Weeks Later, next opus from the survival by Danny Boyle (28 Days Later) that allows the come-back of a movie genre: the Zombie movie (and certainly allows Dawn of the Dead, Land of the Dead and Shaun of the Dead for example to come to our theater).
Then, depsite the fact that it is certainly very hard to do a much better film than Boyle's, I think that 28 Weeks Later is quite better. Better in the original concept. 28 Weeks Later is a jewel of modern gore cinema !!
Many weeks after the global infection of England by a mysterious Rage virus, the whole population have been killed. But happily, the cataclysm has been limited by the island, other countries have been isolated from the lethal virus. American army, 28 weeks later, have started to get in place in London and bring back the survivors. Two kids (they were in holidays during the infection) will meet again their father (Robert Carlyle) - survivor of the virus.
The heavy task for Juan Carlos Fresnadillo (Intacto) was to keep the same aesthetic choices than Boyle in the first opus. To use a DV camera during the action; clipping direction that give an original view on the hysterical scenes; and a strict scenario gibving us what we need to go straight forward. Helped by script by Alex Garland and the music by John Murphy, Fresnadillo has win this challenge. From the beggining to the end rythm is fast, it's impossible to lose attention.
However, the movie is a bloody feast. Justified or not, some scenes are very strong and I recommend to be a little bit careful regarding the children. Final scene is great and offers us a magnificient overture for a third installment in this sage. Enjoy !

Après un Transformers gentillement généreux, je viens donc de me dégoter un DVD de 28 Weeks Later, la suite du survival de Danny Boyle (28 Days Later) qui avait remis au goût du jour le genre cinématographique du film de Zombie (et qui a certainement permi à Dawn of the Dead, Land of the Dead et autres Shaun of the Dead de sortir ces dernières années).
Et bien, malgré le fait de devoir faire au moins aussi bien que le déjà excellent film de Boyle, j'irais presque jusqu'à dire que 28 Weeks Later est un aboutissement. L'aboutissement d'un concept extrème et d'une réalisation moderne et inventive. 28 Weeks Later est un bijou, un joyau du cinéma gore moderne !!

Quelques semaines après l'infection généralisée de l'Angleterre par une variation du virus de la rage, la population a été complètement décimée. Mais heureusement, le cataclysme s'est limité à l'île, le reste du monde en étant complétement isolé. L'armée américaine, 28 semaines plus tard, organise progressivement le repeuplement de Londres. C'est l'occasion pour deux jeunes enfants de retrouver leur père, un des rares survivants de l'holocauste.
La lourde tâche qui était entre les mains de Juan Carlos Fresnadillo (Intacto) était de respecter le cahier des charges initiés par Boyle dans le premier opus. Utilisation intelligente d'une caméra classique et d'une caméra DV dans les scènes d'action; réalisation épileptique mais mettant en valeur les crises d'hystéries et les aggressions de infectés; et enfin scénario simplissime pour une narration "droit au but" hyper efficace. Bien entouré par le script d'Alex Garland et la musique de John Murphy, Fresnadillo a juste cartonné. Du début à la fin le rythme est insoutenable, l'action et l'intérêt soutenu, il est totalement impossible de décrocher.
Le film est par contre victime d'un méchant penchant pour le gore outrancier. Justifié ou pas, on assiste à des scènes à la limite du soutenable autant visuellement (mention à la sauvagerie de certains zombies, et à une scène d'anthologie de massacre à l'hélicoptère) que psychologiquement (Garland prend decidemment un malin plaisir à massacrer ses protagonistes principaux...). Le final bestial et apocalyptique offre une magnifique ouverture vers un troisième épisode qu'on éspère forcément voir rapidement dans les salles.
My departure for Africa approach greatly. That's why I watch a lot of movie that I will miss during this traval.
After Transformers (quite ok...), I just watched the DVD of 28 Weeks Later, next opus from the survival by Danny Boyle (28 Days Later) that allows the come-back of a movie genre: the Zombie movie (and certainly allows Dawn of the Dead, Land of the Dead and Shaun of the Dead for example to come to our theater).
Then, depsite the fact that it is certainly very hard to do a much better film than Boyle's, I think that 28 Weeks Later is quite better. Better in the original concept. 28 Weeks Later is a jewel of modern gore cinema !!
Many weeks after the global infection of England by a mysterious Rage virus, the whole population have been killed. But happily, the cataclysm has been limited by the island, other countries have been isolated from the lethal virus. American army, 28 weeks later, have started to get in place in London and bring back the survivors. Two kids (they were in holidays during the infection) will meet again their father (Robert Carlyle) - survivor of the virus.
The heavy task for Juan Carlos Fresnadillo (Intacto) was to keep the same aesthetic choices than Boyle in the first opus. To use a DV camera during the action; clipping direction that give an original view on the hysterical scenes; and a strict scenario gibving us what we need to go straight forward. Helped by script by Alex Garland and the music by John Murphy, Fresnadillo has win this challenge. From the beggining to the end rythm is fast, it's impossible to lose attention.
However, the movie is a bloody feast. Justified or not, some scenes are very strong and I recommend to be a little bit careful regarding the children. Final scene is great and offers us a magnificient overture for a third installment in this sage. Enjoy !
mercredi 18 juillet 2007
Kult : Mon Voisin Totoro - My Neighbour Totoro
Une des meilleurs scène de dessin ainmé jamais filmée. Un pur moment de cinéma !
One of the best anime scene ever. A pure moment of cinema
One of the best anime scene ever. A pure moment of cinema
vendredi 13 juillet 2007
I'm with SIMPSONS !
Ce sera forcément le film de l'année. Il faut dire qu'après un peu plus de 400 épisodes à la TV et 20 ans au compteur, nous avons été assez patient pour enfin aller voir Les Simpsons au cinéma. Incontestablement l'événement cinématographique 2007 ! (Sortie le 25 juillet je crois...).
Le site officiel propose de composer son personnage sauce Matt Groening, je me suis empressé de faire mon avatar personnalisé auquel il ne manque plus que les lunettes pour être ma parfaite reconstitution... (ouais je sais, c'est pas forcément flatteur ^^).
It will be the Movie of the Year, No doubt about it. After more than 400 TV shows and 20 years of activity, we have waited enough time to finally see The Simpsons The Movie. (On screen the 25th of july in France).
The Official Movie Site allows us to create our avatar (Matt Groening style!). So I did it myself.. Not so bad ;)
Site Officiel - Official movie website

Puisqu'on est dans le cinéma, j'aimerais livrer ici mes impressions sur les films qui m'ont particulièrement marqués en ce début d'année. Dans le désordre, et sans préférences particulières :
We are talking about cinema... Good ! I'm going to talk about the movie I saw and enjoyed since the beggining of this year. Not sorted :
Le dernier roi d'Ecosse - The last king of scotland

Enorme choc qui doit surtout à l'interprétation magistrale de Forest Whitaker (Oscar du meilleur acteur) mais aussi à la réalisation documentaire/réalité de Kevin Macdonald qui gagne à être connu. Un film poignant basé sur la montée au pouvoir du dictateur fou Idi Amin Dada, roi autoproclamé, sanguinaire, malin, animal.... Non franchement, les mots me manquent pour tenter de vous faire ressentir ce qui m'a traversé dans ce long métrage au suspens haletant. A voir sans hésiter !!
Huge choc, particulary for the acting of Forest Whitaker (Oscar, best first role), but also for the direction of Kevin Macdonald, who deserves to be well-known. A movie on the rise to the power of the mad dictator Idi Amin Dada, self-proclamed king, bloody, brave and animal.... No, frankly, words are not enough to gave you what I felt watching this movie. Watch it without any hesitations !!
Les fils de l'Homme - Children of men

Je le savais, Harry Potter 3 était le meilleur opus de la série, Alfonso Cuaron est un génie. Seul un génie de la caméra effectivement aurait pu, dans la droite ligne d'Hitchcock, signer les deux plus grands plans-séquences de ces vingt dernières années, et orchestrer cette sombre histoire de trauma apocalyptique avec une telle virtuosité. Les enfants de l'Homme est de la trempe des films qui restent gravés dans les mémoires.
I knew it, Harry Potter 3 was the best of the saga, Alfonso Cuaron is a genius. Only a genius could have make such marvelous scenes, and showed us a dake movie with such an apocalyptic climax. Children of Men is one from the few movie that we will remember in 20 years.
Hot Fuzz

Après Shaun of the Dead et son irrésistible humour so british. J'étais assez préssé de voir le nouveau long d'Edgar Wright et ses copains. Cette fois-ci il s'attaque aux monuments du plaisir coupable que sont Bad Boys 2 et Point Break avec toujours cette pointe de dérision honnète et révérencieuse. Et comme pour Shaun.... c'est une réussite sans concession.
After Shaun of the Dead and his so-british humor. I was happy to see the new movie by Edgar Wright and his friends. This time, they will adapt to the two guilty pleasure monument that are Bad Boys 2 and Point Break with this sens of honest humor. And as for Shaun.... Wright was right. :)
Zodiac

Bon suspens + Bons acteurs + Bon réalisateur + Bonne histoire = définitivement bon film !
Good suspens + Good actors + Good director + Good story = definetly good movie !
Le vent se lève - The Wind that Shakes the Barley

Ce qui promettait être une barbante reconstitution (palme d'Or hein...) de la lutte perdue d'avance d'une poignée d'irlandais pour leur indépendance se révèle être un putain de coup de poignard dans le bide !! Déjà, je ne serais pas avard en éloge pour la studieuse réalisation de Ken Loach et le charisme de Cillian Murphy, mais surtout je voue direct un culte à celui qui a signé le script.
I thought it was a new boring movie coming from Cannes film festival, a few Irish people lost by advance and fighting for their freedom... but it was a fucking knife shot direct in my nest !! First of all, congratulations for Ken Loach (the director) and Cillian Murphy, then, many thanks to the guy who wrote the script. It was great !!
Le site officiel propose de composer son personnage sauce Matt Groening, je me suis empressé de faire mon avatar personnalisé auquel il ne manque plus que les lunettes pour être ma parfaite reconstitution... (ouais je sais, c'est pas forcément flatteur ^^).
It will be the Movie of the Year, No doubt about it. After more than 400 TV shows and 20 years of activity, we have waited enough time to finally see The Simpsons The Movie. (On screen the 25th of july in France).
The Official Movie Site allows us to create our avatar (Matt Groening style!). So I did it myself.. Not so bad ;)
Site Officiel - Official movie website
Puisqu'on est dans le cinéma, j'aimerais livrer ici mes impressions sur les films qui m'ont particulièrement marqués en ce début d'année. Dans le désordre, et sans préférences particulières :
We are talking about cinema... Good ! I'm going to talk about the movie I saw and enjoyed since the beggining of this year. Not sorted :
Le dernier roi d'Ecosse - The last king of scotland

Enorme choc qui doit surtout à l'interprétation magistrale de Forest Whitaker (Oscar du meilleur acteur) mais aussi à la réalisation documentaire/réalité de Kevin Macdonald qui gagne à être connu. Un film poignant basé sur la montée au pouvoir du dictateur fou Idi Amin Dada, roi autoproclamé, sanguinaire, malin, animal.... Non franchement, les mots me manquent pour tenter de vous faire ressentir ce qui m'a traversé dans ce long métrage au suspens haletant. A voir sans hésiter !!
Huge choc, particulary for the acting of Forest Whitaker (Oscar, best first role), but also for the direction of Kevin Macdonald, who deserves to be well-known. A movie on the rise to the power of the mad dictator Idi Amin Dada, self-proclamed king, bloody, brave and animal.... No, frankly, words are not enough to gave you what I felt watching this movie. Watch it without any hesitations !!
Les fils de l'Homme - Children of men

Je le savais, Harry Potter 3 était le meilleur opus de la série, Alfonso Cuaron est un génie. Seul un génie de la caméra effectivement aurait pu, dans la droite ligne d'Hitchcock, signer les deux plus grands plans-séquences de ces vingt dernières années, et orchestrer cette sombre histoire de trauma apocalyptique avec une telle virtuosité. Les enfants de l'Homme est de la trempe des films qui restent gravés dans les mémoires.
I knew it, Harry Potter 3 was the best of the saga, Alfonso Cuaron is a genius. Only a genius could have make such marvelous scenes, and showed us a dake movie with such an apocalyptic climax. Children of Men is one from the few movie that we will remember in 20 years.
Hot Fuzz

Après Shaun of the Dead et son irrésistible humour so british. J'étais assez préssé de voir le nouveau long d'Edgar Wright et ses copains. Cette fois-ci il s'attaque aux monuments du plaisir coupable que sont Bad Boys 2 et Point Break avec toujours cette pointe de dérision honnète et révérencieuse. Et comme pour Shaun.... c'est une réussite sans concession.
After Shaun of the Dead and his so-british humor. I was happy to see the new movie by Edgar Wright and his friends. This time, they will adapt to the two guilty pleasure monument that are Bad Boys 2 and Point Break with this sens of honest humor. And as for Shaun.... Wright was right. :)
Zodiac

Bon suspens + Bons acteurs + Bon réalisateur + Bonne histoire = définitivement bon film !
Good suspens + Good actors + Good director + Good story = definetly good movie !
Le vent se lève - The Wind that Shakes the Barley

Ce qui promettait être une barbante reconstitution (palme d'Or hein...) de la lutte perdue d'avance d'une poignée d'irlandais pour leur indépendance se révèle être un putain de coup de poignard dans le bide !! Déjà, je ne serais pas avard en éloge pour la studieuse réalisation de Ken Loach et le charisme de Cillian Murphy, mais surtout je voue direct un culte à celui qui a signé le script.
I thought it was a new boring movie coming from Cannes film festival, a few Irish people lost by advance and fighting for their freedom... but it was a fucking knife shot direct in my nest !! First of all, congratulations for Ken Loach (the director) and Cillian Murphy, then, many thanks to the guy who wrote the script. It was great !!
vendredi 6 juillet 2007
Caravane de la paix - Let's go !!!!!!!

Ca y est, c'est signé, c'est acté !! Je parrrrrs !!!!!!
J'en avais déjà touché deux mots, mais je suis donc (depuis plus de trois ans) membre actif de la Croix Rouge en tant que secouriste. Ca faisait quelques temps que je desespérais d'obtenir une mission humanitaire à l'étranger et voilà que mon rêve vient de se réaliser !
Je pars le 27 juillet pour cinq semaines à travers l'Afrique du Nord dans le cadre de la Caravane de la Paix. Encadrement d'un groupe d'éclaireurs (scouts), et organisation de grands jeux de société avec les jeunes rencontrés dans les villes-étapes, pour les former aux réactions appropriées en tant de guerre. Le panard !
Les villes étapes sont Barcelone (Espagne), Algeciras (Espagne), Rabat (Maroc), Agadir (Maroc), Laayoune (Maroc), Nouadhibou (Mauritanie), Nouakchott (Mauritanie), Saint Louis du Sénégal (Sénégal), Dakar (Sénégal) et Gorée (Sénégal). Retour le 31 aout en France... 5 semaines de vacances à poser... ouch, mon chef a un peu tiqué mais a finalement accepté !
J'attends avec impatience ma formation et les formalités (Visa, Vaccin...) sachant qu'il me reste peu de temps pour tout ça.
Plus de nouvelles très bientôt.
YYYYeeeeessssssssssss, It's true now !! I will leave !!!!!!
I've briefly spoken about that some weeks ago, but I'm involved (since three years) as an active member of the Red Cross. It has been years that I was waiting for an international mission, and my dream just became true !
I'm leaving the 27 july for five weeks, travelling in North Africa following the Caravane de la Paix (Peace Raid). I will manage some scouts, and organize great games with the children we will meet in the different towns, the goal is to train them on "what to do in case of war".
The different town are Barcelone (Spain), Algeciras (Spain), Rabat (Marocco), Agadir (Marocco), Laayoune (Marocco), Nouadhibou (Mauritania), Nouakchott (Mauritania), Saint Louis du Sénégal (Senegal), Dakar (Senegal) et Gorée (Senegal). I will come back the 31st august in France...
I'm strongly waiting my training (Visa, Cure...) knowing that there is not so much time before the beggining of this adventure.
More news very soon.
Plus d'infos sur la caravane de la paix
mardi 3 juillet 2007
Air / Phoenix : Concert Waterproof
J'avais acheté mes places (pour moi et ma dulcinée) quelques minutes après leurs mises en vente sur Internet il y a plusieurs mois. J'attendais ce concert comme le messie !! Air et Phoenix, deux de mes groupes phares, partageant la même scène pour une soirée d'extase musicale dans un cadre non moins exceptionelle, le parc du chateau de Versailles.
Et bien quelle ne fut pas ma décéption... après une première partie anecdotique menée par le pop Etienne de Crecy et l'electro Alex Gopher (qui a un acceuil public excellent assez surprenant), Phoenix a livré un set épique. Pluie battante, concert en exterieur, scène découverte, les 6 membres du groupe pop francophone ont réchauffé le public en executant avec brio et courage un mix de leurs trois albums. Vibrant comme le batteur qui faisant littérallment déferler des trombes d'eau de son instrument jusqu'au chanteur, Thomas Mars, chant d'une manière desespéré les mélodies pop de son répertoire. Enorme...
Puis ce fut le cataclysme, la pluie redouble, l'installation electronique du groupe AIR prend du retard, au final, le duo galactique execute deux chansons vaillament, avant de déclarer forfait face à la météo...
Reste quelques belles images d'un Thomas Mars (Phoenix) déchainé pour un concert qui restera véritablement unique, à l'image du groupe dans la scène rock française.
Quatre groupes originaires de Versailles, la cité du roi Soleil... Ironique, non?!
I bought my tickets (mine and girlfriend's) just a few minutes after it was available on the Internet, some months ago. I was strongly waiting for this concert!!! Air and Phoenix, two of my favorites bands, sharing the same concert for one unique night of melody in an exceptionnal place, Versailles's castle parc.
What a disappointment... after the first show lead by the pop artist Etienne de Crecy and the electro Alex Gopher (who as been amazingly well received by the spectators), Phoenix has accomplished an epic set. Torrential rain, uncovered scene, the 6 members of the french pop band offers to the public a bravely mix of their three albums. Simply amazing...
Then it was the cataclysm, the rain get stronger, the setting for Air is getting late, finally, the galactic duo can only play two songs beforce stopping, beacause of the bad weather...
However, I will not forget Thomas Mars (Phoenix) giving a strong unique concert, strong as the band is the only one of this kind in the french pop rock music market.
Four bands from Versailles, the city of the roi Soleil... Ironic, isn't it?!
Phoenix, Consolation Prizes 29/06/2007 in Versailles
Et bien quelle ne fut pas ma décéption... après une première partie anecdotique menée par le pop Etienne de Crecy et l'electro Alex Gopher (qui a un acceuil public excellent assez surprenant), Phoenix a livré un set épique. Pluie battante, concert en exterieur, scène découverte, les 6 membres du groupe pop francophone ont réchauffé le public en executant avec brio et courage un mix de leurs trois albums. Vibrant comme le batteur qui faisant littérallment déferler des trombes d'eau de son instrument jusqu'au chanteur, Thomas Mars, chant d'une manière desespéré les mélodies pop de son répertoire. Enorme...
Puis ce fut le cataclysme, la pluie redouble, l'installation electronique du groupe AIR prend du retard, au final, le duo galactique execute deux chansons vaillament, avant de déclarer forfait face à la météo...
Reste quelques belles images d'un Thomas Mars (Phoenix) déchainé pour un concert qui restera véritablement unique, à l'image du groupe dans la scène rock française.
Quatre groupes originaires de Versailles, la cité du roi Soleil... Ironique, non?!
I bought my tickets (mine and girlfriend's) just a few minutes after it was available on the Internet, some months ago. I was strongly waiting for this concert!!! Air and Phoenix, two of my favorites bands, sharing the same concert for one unique night of melody in an exceptionnal place, Versailles's castle parc.
What a disappointment... after the first show lead by the pop artist Etienne de Crecy and the electro Alex Gopher (who as been amazingly well received by the spectators), Phoenix has accomplished an epic set. Torrential rain, uncovered scene, the 6 members of the french pop band offers to the public a bravely mix of their three albums. Simply amazing...
Then it was the cataclysm, the rain get stronger, the setting for Air is getting late, finally, the galactic duo can only play two songs beforce stopping, beacause of the bad weather...
However, I will not forget Thomas Mars (Phoenix) giving a strong unique concert, strong as the band is the only one of this kind in the french pop rock music market.
Four bands from Versailles, the city of the roi Soleil... Ironic, isn't it?!
Phoenix, Consolation Prizes 29/06/2007 in Versailles
lundi 25 juin 2007
NoLife & Dailymotion
Yeah !! J'ai enfin réussi à mettre une vidéo sur Dailymotion ! Et quelle vidéo ! Un reportage tout fraichement enregistré sur ma Freebox HD de la non moins récente chaîne de TV NoLife.
Le reportage en question est tiré de l'emission 101% et couvre le concert Play! de Sotckholm dans lequel les plus grandes musiques de jeux vidéo furent célèbrer avec un parterre hallucinant de musiciens et de chanteurs.
Yeah !! Finally, I won ! I have posted my first video on Dailymotion. And what a video ! A fresh brand new television report recorded on my Freebox HD on the new channel : NoLife.
The television report come from the TV Show "101%" and talk about the Play! music concert in Stockholm where the best videogame music where played by some great musicians and singers.
Soit dit en passant, NoLife est une excellente initiative à destination des jeunes et moins jeunes geeks et autres otakus qui s'assument. Amusant, intéréssant, intelligent et fun. Pour de la télévision, ça change :)
J'allais oublier le principal. NoLife est donc une jeune chaine apparut sur le bouquet Freebox (canal 32) et pour le moment exclusif à ce marché. Esperons que son audimat grandisse.
By the way, NoLife is an excellent new channel, the ultimate channel for geeks and otakus that have no fear to show them as they are. Funny, interesting, intelligent and fun.
I had almost forget. NoLife is only available on the channel 32 of the Freebox...
Nerdz - Le sitcom des NoLife
Les programmes de la chaine.
Le reportage en question est tiré de l'emission 101% et couvre le concert Play! de Sotckholm dans lequel les plus grandes musiques de jeux vidéo furent célèbrer avec un parterre hallucinant de musiciens et de chanteurs.
Yeah !! Finally, I won ! I have posted my first video on Dailymotion. And what a video ! A fresh brand new television report recorded on my Freebox HD on the new channel : NoLife.
The television report come from the TV Show "101%" and talk about the Play! music concert in Stockholm where the best videogame music where played by some great musicians and singers.
Soit dit en passant, NoLife est une excellente initiative à destination des jeunes et moins jeunes geeks et autres otakus qui s'assument. Amusant, intéréssant, intelligent et fun. Pour de la télévision, ça change :)
J'allais oublier le principal. NoLife est donc une jeune chaine apparut sur le bouquet Freebox (canal 32) et pour le moment exclusif à ce marché. Esperons que son audimat grandisse.
By the way, NoLife is an excellent new channel, the ultimate channel for geeks and otakus that have no fear to show them as they are. Funny, interesting, intelligent and fun.
I had almost forget. NoLife is only available on the channel 32 of the Freebox...
Nerdz - Le sitcom des NoLife
Les programmes de la chaine.
vendredi 22 juin 2007
Voisinage - Neighbourhood
Oulà... ça faisait quelques temps que je n'avais pas posté. Raison principale: une flemme mortelle....
Durant mes derniers surfs, j'ai dégoté quelques perles, et nottement deux blogs qui propose un comic-strip régulier comique et avant tout destiné aux geeks dont je fais bien evidemment parti !
Je vous laisse juger :)
Some weeks have passed since my last post on this blog. Main reason : laziness...
During my last trips on Internet, I found some rare jewels, as these two following blogs, revealing some interesting and regular Comics Strips (in french). It is totally devoted to the world of geeks, for my great pleasure.
I let you judge :)
SANS EMPLOI

LE JOURNAL D'UN G@MER
Durant mes derniers surfs, j'ai dégoté quelques perles, et nottement deux blogs qui propose un comic-strip régulier comique et avant tout destiné aux geeks dont je fais bien evidemment parti !
Je vous laisse juger :)
Some weeks have passed since my last post on this blog. Main reason : laziness...
During my last trips on Internet, I found some rare jewels, as these two following blogs, revealing some interesting and regular Comics Strips (in french). It is totally devoted to the world of geeks, for my great pleasure.
I let you judge :)
SANS EMPLOI

LE JOURNAL D'UN G@MER

lundi 28 mai 2007
Kult : Old Boy
Vu le buzz sur Internet que le film a créé suite à sa récompense au festival de Cannes, en 2004, j'image facilement que la plupart d'entre vous connait déjà cette scène absolument renversante, où Oh Dae-soo (Choi Min-sik) térasse une cinquantaines d'adversaires dans un couloir lors d'un long et élégant travelling. Une réalisation inventive, une chorégraphie millimétrée, et l'attention du spectateur retenue à son paroxysme. Une vraie leçon de cinéma !
Regarding the buzz on Internet following his screening during the Cannes film festival in 2004, I think that most of you already know this monumental scene of Old Boy. Oh Dae-soo (Choi Min-sik) is fighting against more thant 50 opponents in a corridor, filmed in a single travelling. Inventive direction, nice choreography, and the sight of the viewer is kept by the screen. A true real cinema lesson !
Regarding the buzz on Internet following his screening during the Cannes film festival in 2004, I think that most of you already know this monumental scene of Old Boy. Oh Dae-soo (Choi Min-sik) is fighting against more thant 50 opponents in a corridor, filmed in a single travelling. Inventive direction, nice choreography, and the sight of the viewer is kept by the screen. A true real cinema lesson !
jeudi 24 mai 2007
L'agonie des Blockbusters - Blockbusters's death throes
La valse a commencé début mai. Les deux mastodontes du cinéma hollywoodien, aux budgets pharaoniques, qui ne peuvent prendre de risque et qui ne risquent rien d'ailleurs.
Je les ai vu tous les deux, Spiderman 3 et Pirates des Caraibes 3.Alors qui a vaincu ? Qui a remporté dans ce face à face de géant aux combats des effets speciaux et du pop-corn-mêtre ?
The clash has begun in the beggining of may. The two collossus of Hollywood movies, with pharaonic budgets. Two movies that cannot take any risks, and besides, they didn't take any risks.
I saw those two movies. Spiderman 3 and Pirates of the Caribbean 3.Who wins ? Who has won the face to face between the two giants, fighting with huge CGI scenes ?? How many points at the PopCorn'O'meter ?
Spiderman 3

J'ai bien aimé les deux premiers opus. Le troisième nous était vendu comme une conclusion explosive avec la promesse d'affrontements extraordinaires vue la présence de pas moins de trois super-méchants, le fils du Goblin vert, le Sandman et le très graphique Venom. Vue la taille de l'entreprise, Sam Raimi execute un travail sans risque, sans trop de surprise, joliement emballé et qui frise parfois même une certaine poésie (la naissance du Sandman). Il faut toutefois avaler les énormes racourcis scénaristiques que le rythme du film impose, et rester suffisement ouvert au jeu parfois limite des acteurs.
Reste que le tout ressemble quand même à un hamburger: c'est bon, mais ça reste de la "bouffe".
I had enjoyed the two first movies. The third one was shown as the final explosive outcome with tons of amazing fights due to the attendance of no less than three super-vilains : Gree goblin'son, the Sandman and the charismatic Venom. Regarding the budget, Director Sam Raimi has accomplished a good job, with no risks, no surprises, pretty packed and sometimes even poetic (the birth of Sandman). However, you have sometimes to agreed with story-lines shortcuts and bad acting from the main characters.
Finally, the movie is quite like a Hamburger: It's good, but it remains "grubs"...
Pirates des Caraibes 3

Ok, j'aime les personnages, j'aime les pirates, j'aime l'univers, j'aime l'ésthétique. Forcement, je part avec beaucoup d'excitation voire un film qui propose de me servir un plat "Pirates-Zombies-Batailles navales"! Les deux premiers films faisaient partie du haut du panier en terme de spectacle mais souffraient quand même de grosses (énormes) lacunes narratives.
Et bien Pirates des Caraibes 3, c'est la même chose, mais en plus énorme. Les scènes de batailles sont plus impressionantes, Jack Sparrow est en roue libre totale, et les longueurs et les enjeux dramatiques ridicules toujours aussi présentes. Même si le final offre une conclusion satisfaisante à la trilogie, POC 3 patit toutefois du manque flagrant d'exotisme qui marquait les deux premiers films, et surtout d'une histoire décousue qui accuse donc directement les deux boulets que sont les scénaristes Ted Elliot et Terry Rossio.
Un peu long, un peu chiant à démarrer (les 45 premières minutes peuvent tranquillement passer à la trappe), Pirates 3 se rattrapent toutefois dans son rafraichissant final.
Ok, I love the characters, I love the Pirates, I enjoy the universe, I like the aestheticism. Well, it's hardly surprising, I was going with a lot of excitement watching a movie that offers a "Pirates-Zombies-Naval fights" menu! The two first movies was enjoyable despite of the lack in narration..
Finally, POC 3, it's the same but in big format. Naval fights are just impressives, Jack Sparrow is really mad, narration and the silly scenario is just disgusting... Even if the final scene offers a major conclusion to the trilogy, POC 3 suffers of a lack of exotism and above all a poor and uninteresting story due to the two useless writers Ted Elliot and Terry Rossio.
Quite long, a little bit boring in the beggining (the first 45 minutes are just useless), Pirates 3 is just great during the tremendous final scene.
Conclusion
Les blockbusters ont pris un sacré coup de vieux. Personnellement, la bonne vieille recette qui consistait à m'en mettre plein les mirettes à coup d'effets speciaux numériques commencent sérieusement à s'épuiser. Les prouesses informatiques remplacent peu à peu la qualité de réalisation, et a complèment tué la narration et le côté épique des personnages. Reste quelques trublions comme Children of Men qui fait preuve d'une inventivité époustouflante... Finalement, entre Spidey 3 et POC 3, le blockbuster de l'année sera peut-être Transformers de Michael Bay... ou pas.
Blockbusters begin step by step to be old-fashioned. Personnaly, the good old meal consisting in putting some state of the art CGI fx is not working anymore. CGI improvment take the lead on direction quality and has completely killed the narration and the epic side of the characters. Only some single shot as Children of Men has really kicked my ass these last months... Finally, between Spidey 3 and POC 3, the best blockbuster of the year will perhaps be Transformers by Michael Bay... or not.
Je les ai vu tous les deux, Spiderman 3 et Pirates des Caraibes 3.Alors qui a vaincu ? Qui a remporté dans ce face à face de géant aux combats des effets speciaux et du pop-corn-mêtre ?
The clash has begun in the beggining of may. The two collossus of Hollywood movies, with pharaonic budgets. Two movies that cannot take any risks, and besides, they didn't take any risks.
I saw those two movies. Spiderman 3 and Pirates of the Caribbean 3.Who wins ? Who has won the face to face between the two giants, fighting with huge CGI scenes ?? How many points at the PopCorn'O'meter ?
Spiderman 3

J'ai bien aimé les deux premiers opus. Le troisième nous était vendu comme une conclusion explosive avec la promesse d'affrontements extraordinaires vue la présence de pas moins de trois super-méchants, le fils du Goblin vert, le Sandman et le très graphique Venom. Vue la taille de l'entreprise, Sam Raimi execute un travail sans risque, sans trop de surprise, joliement emballé et qui frise parfois même une certaine poésie (la naissance du Sandman). Il faut toutefois avaler les énormes racourcis scénaristiques que le rythme du film impose, et rester suffisement ouvert au jeu parfois limite des acteurs.
Reste que le tout ressemble quand même à un hamburger: c'est bon, mais ça reste de la "bouffe".
I had enjoyed the two first movies. The third one was shown as the final explosive outcome with tons of amazing fights due to the attendance of no less than three super-vilains : Gree goblin'son, the Sandman and the charismatic Venom. Regarding the budget, Director Sam Raimi has accomplished a good job, with no risks, no surprises, pretty packed and sometimes even poetic (the birth of Sandman). However, you have sometimes to agreed with story-lines shortcuts and bad acting from the main characters.
Finally, the movie is quite like a Hamburger: It's good, but it remains "grubs"...
Pirates des Caraibes 3

Ok, j'aime les personnages, j'aime les pirates, j'aime l'univers, j'aime l'ésthétique. Forcement, je part avec beaucoup d'excitation voire un film qui propose de me servir un plat "Pirates-Zombies-Batailles navales"! Les deux premiers films faisaient partie du haut du panier en terme de spectacle mais souffraient quand même de grosses (énormes) lacunes narratives.
Et bien Pirates des Caraibes 3, c'est la même chose, mais en plus énorme. Les scènes de batailles sont plus impressionantes, Jack Sparrow est en roue libre totale, et les longueurs et les enjeux dramatiques ridicules toujours aussi présentes. Même si le final offre une conclusion satisfaisante à la trilogie, POC 3 patit toutefois du manque flagrant d'exotisme qui marquait les deux premiers films, et surtout d'une histoire décousue qui accuse donc directement les deux boulets que sont les scénaristes Ted Elliot et Terry Rossio.
Un peu long, un peu chiant à démarrer (les 45 premières minutes peuvent tranquillement passer à la trappe), Pirates 3 se rattrapent toutefois dans son rafraichissant final.
Ok, I love the characters, I love the Pirates, I enjoy the universe, I like the aestheticism. Well, it's hardly surprising, I was going with a lot of excitement watching a movie that offers a "Pirates-Zombies-Naval fights" menu! The two first movies was enjoyable despite of the lack in narration..
Finally, POC 3, it's the same but in big format. Naval fights are just impressives, Jack Sparrow is really mad, narration and the silly scenario is just disgusting... Even if the final scene offers a major conclusion to the trilogy, POC 3 suffers of a lack of exotism and above all a poor and uninteresting story due to the two useless writers Ted Elliot and Terry Rossio.
Quite long, a little bit boring in the beggining (the first 45 minutes are just useless), Pirates 3 is just great during the tremendous final scene.
Conclusion
Les blockbusters ont pris un sacré coup de vieux. Personnellement, la bonne vieille recette qui consistait à m'en mettre plein les mirettes à coup d'effets speciaux numériques commencent sérieusement à s'épuiser. Les prouesses informatiques remplacent peu à peu la qualité de réalisation, et a complèment tué la narration et le côté épique des personnages. Reste quelques trublions comme Children of Men qui fait preuve d'une inventivité époustouflante... Finalement, entre Spidey 3 et POC 3, le blockbuster de l'année sera peut-être Transformers de Michael Bay... ou pas.
Blockbusters begin step by step to be old-fashioned. Personnaly, the good old meal consisting in putting some state of the art CGI fx is not working anymore. CGI improvment take the lead on direction quality and has completely killed the narration and the epic side of the characters. Only some single shot as Children of Men has really kicked my ass these last months... Finally, between Spidey 3 and POC 3, the best blockbuster of the year will perhaps be Transformers by Michael Bay... or not.
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